Fiat lux et facta est lux

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« Que la lumière soit, et la lumière fut ».

Un "tout petit peu" d'histoire

Au Moyen Age, la cheminée avec sa grande flambée est la première source d’éclairage. Mais si cela suffit pour manger ou se distraire, c’est insuffisant pour étudier les écritures, lire et écrire des missives, ou surtout faire les comptes.

N’oublions pas qu’il s’agit d’un château épiscopal, donc la résidence principale des évêques et de leur suite. Nous combinons ici clergé et noblesse.

L’utilisation de torches accrochées aux murs était une des sources complémentaires de lumière pour les grandes salles, avec bien sûr tous les risques d’incendies associées a cette source de lumière et de chaleur.

Dans les chambres et les “cabinets de travail”, l’utilisation de bougies en cire était de mise. Les chandelles faites avec du suif étaient, quant à elles, employées dans des pièces où les gens n’appartenant ni à la noblesse ni au haut clergé résidaient ou travaillaient. Les cierges étaient réservés à des fins liturgiques, donc limités aux lieux sacrés.

Quelles sources pour la maquette ?

Dans la maquette, nous avons choisi deux sources d’éclairage:

  1. des torchères accrochées au mur
  2. un éclairage au plafond.

Pour les torchères, il s’agit d’une fibre optique noyée dans le corps de la torchère et qui descend au travers des murs dans les “caves” du château. L’ensemble des fibres est regroupé en un faisceau qui est illumine par une LED de forte puissance.

L’éclairage au plafond se fait avec des LED encastrées dans un “faux plafond”. La aussi le câblage électrique descend dans les “caves” en passant au travers des murs. Une alimentation stabilisée 230VAC-12VDC se charge d’alimenter toutes ces LEDs

Un petit plus pour les cheminées : des LEDs à effet bougie ont été insérées dans les buches pour donner vie aux feux.

Indiscrétions

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